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Sissygasme

Le sissygasme est le terme utilisé pour nommer l’homme qui atteindra l’orgasme avec coït sans stimulation du pénis par pénétration anale. Ce type d’orgasme peut aussi bien se faire avec ou sans cage de chasteté.


Certains se permettent d’ajouter de la vibration au niveau du pénis, de la cage ou du périnée. Mais généralement, cet orgasme va être possible par une longue et intense pénétration anale de l’homme. Le sissygasme est alors très apprécié de ceux qui se travestissent, car analogue à l’orgasme féminin.


Mais il est possible d’aller chercher cette sensation sans aller dans le travestissement, ni allusion à l’univers des sissy. Mais plutôt dans cet univers de la sexualité masculine hétérosexuelle sans complexe que je défends. Je décris assez bien comment dans mon article sur l’orgasme anal masculin.






Aussi, on peut penser qu’il s’agit d’un orgasme ruiné, mais il n’en ait rien. Le sissygasme ou orgasme anal masculin est généralement très intense et très satisfaisant. En effet c’est un orgasme qui demande du temps et qui lorsqu’il arrive envahit le corps en entier.


Voici mes trucs pour l’atteindre. Vous devrez prévoir entre trente et quarante minutes au total, préparation et nettoyage inclus.


D’abord, je préfère le faire avec la cage en place. Ça évite toutes tentatives pour accélérer le processus et alors manquer son coup.


Ensuite, l’idéal est de commencer par une longue pénétration anale. A deux, on en profite pour éterniser une séance de Pegging avec plusieurs positions. Seul, j’utilise un gode ventouse. Il ne s’agit pas seulement d’insérer un objet dans l’anus tel un plug. Il faut faire des va-et-vient complets, et à un bon rythme. On peut faire des pauses, changer de position ou ralentir le rythme, puis on recommence avec des va-et-vient rapides. Après 10 à 15 minutes, on pourra sentir si les conditions sont favorables ou non pour passer à la prochaine étape.





En couple, on laisse tomber le strapon pour passer en manuel. Couché sur le côté, genoux repliés fonctionne bien pour moi. On prend le temps de placer une petite serviette sous moi vis-à-vis la cage. La phase de préparation aura permis un relâchement des muscles de l’anus. L’occasion se prête bien pour sortir son plus gros dildo, l’effet sera plus intéressant. Et elle y va avec des mouvements de va-et-vient rapides dans l’anus. L’angle d’insertion du dildo doit lui permettre d’aller se frotter sur la prostate. Les spasmes prostatiques commencent. Un liquide très blanc s’écoule lentement du pénis. L’homme mouille! Il n’est pas nécessairement en érection dans la cage. Exercer une légère pression avec le pouce sur le périnée aide à faire monter la tension. Elle s’arrêtera lorsque l’homme éjacule, signe évident que ça a fonctionné! La KH pourra terminer en caressant la prostate avec deux doigts pour aller chercher encore quelques soubresauts.


Finalement on nettoie! Généralement j’aime garder la cage en place, ne pas la retirer! On évite de passer par l’envie de ne pas la remettre, propre à cette phase de déprime post coït. Le nettoyage peut donc se faire par un rinçage à l’eau savonneuse dans la douche. Puis, on va rejoindre sa conjointe au lit, toujours encagé, pour une bonne nuit de sommeil.


Merci ma chérie pour ton ouverture, j’ai de la chance, je suis un homme comblé!

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