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Billy Tremblay

Le principe de base de la CMC

Dernière mise à jour : 4 déc. 2021

J’expose sommairement le principe de base de la chasteté masculine contrôlée (CMC) classique avant d’exposer plus tard les principes de la CMC raisonnée. Je m’adresse aux non-initiés, femmes et hommes. Plusieurs autres blogues font de longues descriptions de la chasteté masculine contrôlée et de ses principes, et de nombreuses nuances peuvent être apportées.


La chasteté peut être définie par garde-plaisir. Le plaisir masculin est conservé par la conjointe qui détient la clé pour être consommée au moment propice au plaisir du couple.

La CMC est une y pratique qui se fait obligatoirement en couple. L’organe de l’homme est en quasi-permanence en cage et la femme garde la clé. L’homme devient l’encagé, la femme la Keyholder (KH). La cage choisie doit être de qualité, être suffisamment confortable pour être porté 24/7 sur plusieurs jours d’affilés et être adaptés à la taille du pénis au repos. On veut donc une petite cage. Ainsi, l’homme n’a plus d’érection complète et il lui est impossible de se masturber seul. La KH décide alors de quand et comment l’homme peut jouir.

La définition de chasteté dans le Petit Larousse signifie s’abstenir des plaisirs sexuels jugés illicites. Ici, la KH contrôle le plaisir de l’orgasme masculin, elle s’en garde l’exclusivité, et empêche l’homme d’obtenir à tout moment sa propre satisfaction par exemple en se masturbant seul, en consommant de la pornographie ou encore en ayant des relations avec d’autres femmes.

Autre définition intéressante que je préfère, celle de la chasteté peut être définie par garde-plaisir. Le plaisir masculin est conservé par la conjointe qui détient la clé pour être consommée au moment propice pour le plaisir du couple.


La KH contrôle ainsi totalement la sexualité de l’encagé en conservant précieusement la clé. C’est uniquement elle qui doit décider du moment de sa libération, et les demandes pour être libéré de sa cage de chasteté n’auront pour effet que de prolonger son état. On utilise aussi dans le domaine le terme du déni d’orgasme pour décrire le moment où la KH refuse d’accorder l’orgasme à l’encagé alors qu’il en aurait très envie. Généralement, elle contrôle ce que peut faire l’encagé lors d’une sortie. Elle s’assure aussi que le moment de liberté, plus ou moins court, soit suivi d’une remise en place de la cage de chasteté. L’homme retrouve ainsi son état d’encagé après l’orgasme accordé, moment durant lequel il est probablement le moins enclin à remettre la cage. La KH peut aussi voir à remettre la cage en place sans que l’orgasme masculin n’ait pu être consommé créant ainsi de la frustration chez l’homme. Elle préserve ainsi le désir d’orgasme de son encagé à elle seule et affirme son contrôle absolu sur le plaisir masculin.


La KH contrôle ainsi totalement la sexualité de l’encagé en conservant précieusement la clé.

À la première vue, ceci semble horrible, mais au dire des participants, les bénéfices sont très présents. Il est rapporté qu’après deux ou trois jours en cage, l’homme passe une première étape qui bouleverse ses habitudes sexuelles et qu’un bien-être mental s’installe. Ce mélange de frustration et de bien-être chez l’homme est décrit par le thème très antinomique de la frustration positive.


Généralement, après une ou deux semaines de CMC, les témoignages de femmes sont que l’homme devient doux, amoureux et très attentionné, car l’encagé comprend qu’il doit faire preuve de douceur et gentillesse avec sa conjointe pour espérer sa libération.


L’effet est aussi marqué par un bouleversement hormonal important dans l’organisme de l’homme abstinent durant plusieurs jours ou ayant réduit significativement le nombre d’orgasmes normalement atteint. Les bénéfices de la CMC sont donc très rapides et l’impact est très visible dans la relation de couple. On dit que l’homme devient moins macho, plus cérébral. Hommes et femmes en redemandent. C’est le principal attrait de la CMC et ceci suffit normalement à justifier tout l’exercice.


L’application de la CMC est très variable selon chacun des couples. Appliquée sous forme d’un jeu quelques jours ou semaines ici et là, elle est aussi appliquée de manière permanente et absolue durant des années par d’autres.


Les adeptes modérés vont dire que leur CMC est non SM (sadomasochisme) et intègre l’exercice de manière simple dans leur relation de couple. À l’opposé, les plus dures KH vont vouloir dominer l’encagé, le soumettre, l’humilier, et le priver de tout plaisir personnel, avec une tendance pour y ajouter les activités complémentaires qui s’approche du BDSM.


CHAPITRE 1 : La chasteté masculine contrôlée

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