Une sortie de cage avec permission de se masturber est une récompense très classique pour l’encagé. Le rôle de la KH se limite alors à libérer l’homme encagé, sans nécessairement participer à son plaisir et qu’il devra se donner souvent en solitaire. L’homme pourra se sentir frustré de ne pas avoir plus, n’ayant eu que peu de temps pour s’exécuter avant de retourner en cage de chasteté.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, l’encagé retire une forme de satisfaction de cette frustration créée par la KH.
Certaines KH plus dures vont remettre la cage avant même que l’encagé n’ait fini de s’exécuter. C’est le déni d‘orgasme. D’autres pratiques sont aussi utilisées lors d’une sortie de cage, telles que l’orgasme ruiné (coït sans orgasme), le Numbing (utilisation d’un gel anesthésiant et d’un contraceptif lors de la pénétration), le Edging (maintien sur une longue période de l’érection sans jamais atteindre le coït), l’orgasme chronométré (orgasme atteint à l’intérieur d’un temps très court avec le risque de remettre la cage sans avoir réussi) ou le Milking (massage prolongé de la prostate). Peu importe la méthode appliquée, l’idée est que l’encagé ne savoure pas totalement le privilège accordé, et ainsi le frustrer.
Une autre pratique de frustration positive pour les KH qui apprécient la pénétration est l’utilisation d’un strapon sur l’encagé (dildo attaché à l’aide d’un harnais à l’encagé). L’encagé ainsi équipé pénètre sa conjointe sans retirer de plaisir pour lui.
Enfin l’idée de retourner en cage rapidement est un geste de frustration positive très connu de dans la CMC. Nous verrons plus tard que l’effet de la prolactine crée un puissant effet de satiété après l’orgasme chez l’homme. C’est ce même neurotransmetteur qui explique que l’homme n’a pas réellement envie de remettre la cage dans les minutes qui suivent son orgasme. Il n’a plus envie de grand-chose en fait! Il est en déprime post-coït, état bien connu ou l’homme n’exprime que peu d’intérêt pour sa conjointe après l’orgasme et s’endort profondément sur son oreiller douillet.
Lorsque le principe est compris et maîtrisé, la frustration positive devient un des éléments clés de la CMC.
Lorsque la KH insiste pour remettre la cage rapidement alors que l’effet de la prolactine se fait sentir, elle affirme ainsi son rôle qui est de contrôler de la sexualité de son conjoint, et obtient par le fait même le consentement de l’encagé à s’y soumettre jusqu’à la prochaine occasion. Clic!
Toutes ces notions cherchent à créer une frustration chez l’homme, une manière pour la KH de réaffirmer son contrôle absolu de la sexualité de l’encagé, et pour l’encagé de s’y soumettre.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, l’encagé retire une forme de satisfaction de cette frustration créée par la KH. De manière surprenante il en redemande, trouvant sa satisfaction dans toute cette attention que la KH lui donne, le plaisir de donner à sa KH et le lâchez-prise sur ses propres attentes. Lorsque le principe est compris et maîtrisé, la frustration positive devient un des éléments clés de la CMC.
CHAPITRE 1 : La chasteté masculine contrôlée
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